Chez les beautés aux dents limées

[Lot de deux ouvrages]

DORGELÈS, Roland
Chez les beautés aux dents limées
Laboratoires Martinet, 1930, édition originale. Lot 1/2 (avec 0004/21)

Roland Dorgeles est un écrivain et journaliste français, membre de l’académie Goncourt de 1929 à sa mort, en 1973. Lors d’un séjour de quatre mois en Indochine, il découvre les Moïs, un peuple vivant sur les hauts plateaux du Vietnam et au sud du Laos et qui représente selon lui « l’homme primitif », celui d’avant la civilisation. Il leur consacre en 1925 un ouvrage, La route mandarine mais exprime quelques années plus tard, le désir de revenir sur eux pour pousser ses réflexions et donner de plus amples précisions. C’est alors que naît Chez les beautés aux dents limées, en 1930.
Dans ce second ouvrage, écrit à la première personne, l’auteur raconte diverses anecdotes et évoque principalement les différences notables entre les « sauvages » et les « civilisés », faisant part de ses observations, de ses raisonnements et de ses surprises.
C’est ainsi la découverte de l’altérité par un français du début du XXème siècle que donne à lire ce livre, un français plein de préjugés mais qui découvre, apprend et retranscrit avec une plume fluide et élégante.

Les Laboratoires Martinet, 1930. In-8. Broché. 110 pages. Pages jaunies, tranches abîmées. Lot 2/2

« Chez les beautés aux dents limées, Roland Dorgeles, Laboratoires Martinet, 1930, édition originale.
Exemplaire hors commerce. Imprimé spécialement pour Monsieur Antoine Menier. Pages non découpées. Reliure demi-maroquin bordeaux.

Roland Dorgeles est un écrivain et journaliste français, membre de l’académie Goncourt de 1929 à sa mort, en 1973. Lors d’un séjour de quatre mois en Indochine, il découvre les Moïs, un peuple vivant sur les hauts plateaux du Vietnam et au sud du Laos et qui représente selon lui « l’homme primitif », celui d’avant la civilisation. Il leur consacre en 1925 un ouvrage, La route mandarine mais exprime quelques années plus tard, le désir de revenir sur eux pour pousser ses réflexions et donner de plus amples précisions. C’est alors que naît Chez les beautés aux dents limées, en 1930.
Dans ce second ouvrage, écrit à la première personne, l’auteur raconte diverses anecdotes et évoque principalement les différences notables entre les « sauvages » et les « civilisés », faisant part de ses observations, de ses raisonnements et de ses surprises.
C’est ainsi la découverte de l’altérité par un français du début du XXème siècle que donne à lire ce livre, un français plein de préjugés mais qui découvre, apprend et retranscrit avec une plume fluide et élégante.

Les Laboratoires Martinet, 1930. In-8. Broché. 110 pages. Pages jaunies, tranches abîmées. »