Cette thèse sur les relations entre les maladies de l’âme et les traitements des pathologies est soutenue par un médecin d’Oléron à l’université de Montpellier, la plus ancienne de France. Dans le jury figure les maitres « classiques » de l’université de Montpellier : Barthez, Lamure, Le Roy, Broussonet, Vigaroux et Gouan le célèbre botaniste.
Ce qui fait l’originalité de ce texte, c’est que l’auteur aborde des thématiques dont les universités parisiennes semblent se désintéresser à cette époque. D’ailleurs, Philippe Pinel assiste au même moment, aux enseignements de Paul-Joseph Barthez à Montpellier également.
Salet, s’inspire agréablement de Rousseau et cite allègrement le Livres IV de L’Emile ou de l’Education.
Rapport de condition
In-4, plaquette, à relier, Montpellier, Picot, 1778, 8 pp.